À l’encontre du personnel des entreprises, les fonctionnaires et les employés publics tels les enseignants du système d’éducation nationale ou les employés de l’armée et de la police, ne sont pas obligés à contracter une mutuelle pour compléter les sommes remboursées par la sécurité sociale. La seule exception est le cas des contrats à durée déterminée, qui rentrent dans la même catégorie que le personnel de sociétés privés. La mutuelle pour le secteur privé est devenue obligatoire depuis janvier 2016, mais les employés du secteur public et régional ne sont pas inclus dans l’accord national interprofessionnel. Il est quand même recommandé de souscrire une complémentaire qui permettra de rembourser les dépenses qui ne sont pas couvertes par la sécurité sociale. Les avantages des offres globales de mutuelle Les fonctionnaires de l’État ont la possibilité de choisir entre une option généraliste ou une option adaptée à leur métier. Il s’agit souvent d’une offre globale de la part du prestataire qui prend en charge la sécurité sociale du ministère respectif. Les employés territoriaux ont aussi la possibilité de choisir la complémentaire santé qu’ils préfèrent. Opter pour une offre globale signifie que les garanties offertes sont spécifiques aux risques et besoins de la branche visée, comme celles destinées aux militaires, aux policiers ou aux enseignants. Ces mutuelles ont souvent des partenariats avec des opticiens ou des dentistes et permettent un degré plus élevé de remboursement. Cependant, l’ensemble des avantages pourrait être concurrencé aisément pas une offre généraliste. Contracter un opérateur privé Si un contrat avec un fournisseur d’une complémentaire privée vous paraît plus adéquat à votre situation personnelle, vous pouvez le faire sans problème grâce au décret de 2011. Celui-ci permettait aux institutions d’effectuer des versements vers les mutuelles privées référencées. Une décision de la Cour de Comptes de février 2012 visait à ouvrir ces prestations à une concurrence libre. Les ministères et les collectives territoriales peuvent confier une partie des cotisations pour leurs employés aux organismes privés, après avoir signé une convention de participation avec ces opérateurs. Ces complémentaires santé privées peuvent également adapter leur gamme de produits aux spécificités des employés du secteur public et offrir des tarifs préférentiels en fonction du nombre de signataires ou du niveau de protection choisi. Les Ménages Prévoyants travaille avec les collectivités territoriales pour offrir la meilleure couverture et les meilleures offres pour leurs agents. LMP propose des prestations structurées sur 4 niveaux, dédiés aux besoins spécifiques des fonctionnaires et de leurs familles. Pour un plus de sérénité, il est possible d’accéder à une gamme de prévoyance concernant les droits pendant les congés de maladies ou d’autres situations imprévues.

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PME, TPE ou grand groupe, toutes les entreprises ont l’obligation de proposer à leurs salariés une mutuelle collective. L’avantage des mutuelles consiste à offrir un niveau de couverture plus complet, adapté aux besoins de santé de chaque utilisateur. De plus, les bénéficiaires ayant besoin régulièrement de cures thermales et de consultations chez un diététicien peuvent être pris en charge par une sur-complémentaire santé. Depuis 2016, tous les dirigeants d’entreprise ont l’obligation de proposer à leurs employés une complémentaire santé. Dans la plupart des cas, cette mutuelle de groupe offre un niveau de couverture de base, qui ne couvre pas toutes les dépenses de santé. Les personnes concernées sont donc conseillées de souscrire une sur-complémentaire sur mesure leur permettant de recevoir les meilleurs soins médicaux. Connaître les règlementations en vigueur Pour respecter les lois en vigueur, les entreprises ont désormais l’obligation de souscrire une mutuelle de groupe. Cependant, pour des raisons de maîtrise des coûts, les contrats collectifs couvrent une gamme basique de soins médicaux. Les employés se voient donc dans l’obligation de souscrire une sur-complémentaire afin de continuer à bénéficier de tous les soins dont ils ont besoin. Les assureurs recommandent ainsi des formules sur mesure pour que vous bénéficiiez de tous les soins médicaux. Ils vous accompagnent dans votre choix et vous orientent dans vos choix après avoir analysé l’évolution de vos besoins santé. Une couverture pour les services ophtalmologiques et les autres soins médicaux Les soins médicaux de qualité requièrent souvent un investissement plus important. De plus, l’assurance maladie ne peut pas couvrir l’intégralité des dépenses santé. Certains soins sont aujourd’hui pris en charge partiellement par l’assurance maladie et les mutuelles proposées par les dirigeants d’entreprise. Il s’agit notamment de soins tels que les médecines douces, l’optique, l’orthodontie et les interventions dentaires. Pour obtenir des remboursements pour tous les soins dont vous avez besoin, il est devenu indispensable se choisir une sur-complémentaire. Pour mieux comprendre les niveaux de couverture, il est parfois indispensable de se faire accompagner par un professionnel. Les spécialistes des Ménages Prévoyants peuvent vous accompagner dans votre choix. Ils prennent en compte votre santé et vos besoins pour vous recommander une sur-complémentaire adaptée. Vous avez également la possibilité de choisir une formule sur mesure. Forts de leur expertise sur le marché de la complémentaire santé, les professionnels LMP peuvent vous accompagner dans la recherche d’une offre adaptée à vos besoins. Vous avez la possibilité de découvrir les offres dédiées aux particuliers et aux entreprises sur le site Menages-prevoyants.fr.

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Tous les employeurs ont l’obligation de proposer une complémentaire santé à tous ses salariés à partir du 1er janvier 2016. Avant de la choisir il faut s’assurer qu’elle respecte un panier minimum de soins. Les chefs d’entreprise devront choisir la complémentaire santé avec soin pour bénéficier d’un meilleur tarif avec les garanties nécessaires. Employeurs, découvrez les conseils à appliquer pour la mutuelle d’entreprise.

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La scolarité est une étape cruciale dans la vie d’un enfant, mais elle peut également être source de nombreux risques. Accidents, dommages matériels ou blessures causées à un tiers, autant de situations auxquelles l’assurance scolaire peut répondre. Il est donc essentiel de bien comprendre comment fonctionne cette couverture et quelles sont les garanties proposées. Les différents types d’assurance scolaire Lorsque l’on parle d’assurance scolaire, on distingue généralement deux types de contrats : l’assurance scolaire de base : elle est obligatoire et couvre principalement la responsabilité civile de l’enfant en cas de dommages causés à un tiers ; l’assurance scolaire complémentaire (ou assurance « extrascolaire ») comme ici* : non obligatoire, elle vient renforcer les garanties de la première et permet notamment de prendre en charge les frais médicaux suite à un accident survenu pendant les activités extrascolaires. Quand l’assurance scolaire intervient-elle ? L’assurance scolaire intervient lorsqu’un sinistre se produit durant le temps scolaire, c’est-à-dire entre le moment où l’enfant quitte son domicile pour se rendre à l’école et celui où il en revient. Elle est également valable lors des activités périscolaires (études surveillées, cantine…) et extrascolaires (sorties, voyages scolaires…). En revanche, les garanties de l’assurance scolaire ne s’appliquent pas pendant les week-ends, les vacances ou lorsque l’enfant se trouve chez lui. Quelles sont les garanties proposées par l’assurance scolaire ? Responsabilité civile Première garantie indispensable d’une assurance scolaire, la responsabilité civile prend en charge les dommages matériels et corporels causés par un enfant à un tiers. L’indemnisation dépendra du type de préjudice subi par la victime et des plafonds fixés par le contrat d’assurance. Cette garantie est généralement incluse dans les contrats d’assurance habitation, mais il est important de vérifier que votre couverture est bien adaptée aux besoins de votre enfant. Frais médicaux L’assurance scolaire complémentaire peut prendre en charge les frais médicaux engagés suite à un accident survenu durant les activités scolaires ou extrascolaires. Les dépenses concernées peuvent être : les frais médicaux et pharmaceutiques ; les honoraires des médecins et spécialistes consultés ; les frais d’hospitalisation ; les prestations de rééducation et de réadaptation ; les frais de transport en ambulance. Il est important de vérifier les plafonds d’indemnisation prévus par votre contrat d’assurance, ainsi que les éventuelles franchises ou exclusions. Dommages aux biens Cette garantie permet d’être indemnisé pour les dégâts causés aux affaires de l’enfant par un tiers (vol, incendie, dégradation…). Elle peut concerner aussi bien les vêtements, les lunettes, le matériel scolaire que les vélos ou autres objets personnels. Là encore, il convient de se renseigner sur les plafonds d’indemnisation et les conditions de prise en charge. Comment souscrire une assurance scolaire ? Pour souscrire une assurance scolaire, plusieurs solutions s’offrent à vous : vous pouvez vous rapprocher de votre assureur habitation, qui propose souvent des options spécifiques pour les enfants scolarisés ; vous pouvez comparer les offres des différentes compagnies d’assurance spécialisées dans ce domaine ; enfin, il est possible d’adhérer à une mutuelle proposant des garanties adaptées aux besoins des élèves. Comment déclarer un sinistre et obtenir une indemnisation ? En cas de sinistre, il est impératif de respecter certaines démarches pour bénéficier des garanties de l’assurance scolaire. Tout

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Les compagnies d’assurance proposent aux automobilistes des indemnisations qui couvrent les frais de réparation liés à un sinistre survenu sur une des surfaces vitrées de leur véhicule. Comment fonctionne cette couverture particulière ? Beaucoup d’incidents peuvent causer des dégâts sur un pare-brise, la lunette arrière ou l’une des fenêtres latérales d’une voiture : projection de cailloux, accrochage avec un autre automobiliste ou acte de vandalisme (des faits d’effraction généralement)…de nombreux automobilistes sous-estiment les enjeux que représente une bonne couverture assurantielle contre ce type de dommages : ils sont en effet très courants (on en recense plus de 2 millions chaque année) et coûtent cher (il faut débourser 600 à 700 euros en moyenne pour changer un pare-brise). Assurance Bris de glace : quel niveau de protection ? Des réparateurs agréés, comme le réseau France Pare Brise, ont passé des partenariats avec des assurances, des courtiers et autres mutuelles afin de diminuer l’impact financier de tels sinistres sur le budget « entretien » des automobilistes : les compagnies proposent toujours une garantie « bris de glace ». Mais il s’agit d’une option : en clair, cette mesure est facultative et l’assuré la sollicite à sa demande afin de l’intégrer à sa formule « tiers », « intermédiaire » ou « tous risques ». S’il y souscrit, de sa propre initiative ou sur proposition de son interlocuteur, il bénéficie d’une prise en charge automatique du montant des réparations consécutif à un sinistre sur une des vitres de son véhicule. Certaines « polices » prévoient même des extensions aux phares et/ou aux rétroviseurs. Attention : il n’est pas rare que cette garantie soit assortie d’une franchise, avec un reste à charge non négligeable pour l’assuré. Il faut donc être vigilant avant de signer et vérifier que le jeu en vaut vraiment la chandelle : heureusement, la loi oblige les compagnies à mentionner le montant de la franchise sur les contrats rédigés à l’intention de leurs clients afin que ceux-ci puissent s’engager en toute connaissance de cause. Les conditions pour être indemnisé Le Code de l’Assurance fixe un certain nombre de conditions pour être éligible à l’indemnisation « bris de glace » (article L.113-2-4) : le texte fixe à l’automobiliste un délai de cinq jours sous lequel le dégât perpétré ou survenu fortuitement sur son pare-brise doit être déclaré. Une entreprise comme France Pare Brise accompagne sa clientèle dans les démarches à effectuer auprès des assureurs et prend en charge cette partie administrative. Autre impératif à connaître : le versement de l’indemnité « bris de glace » est effectué si et seulement si le sinistre frappe exclusivement la surface vitrée couverte par le contrat. Pour le cas où le bris de glace s’accompagne d’autres dégâts sur le véhicule, laissant penser à un accident plus global, ou s’il est avéré que cet acte de vandalisme a précédé le vol de l’autoradio, alors la garantie doit être « requalifiée ». En revanche, une déclaration « bris de glace » n’influe pas sur le mode de calcul

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Être manager et être coach sont deux concepts très différents. Un manager a pour rôle de guider son équipe pour mieux communiquer et faciliter le prise de décisions. Un coach quant à lui a pour vocation d’accompagner ses clients et de les influencer dans les décisions qu’ils doivent prendre. Toutefois, un manager coach ne veut pas dire que la personne est à la fois un manager et un coach. cependant, elle reste un manager tout en adoptant le style du coach. Un manager coach a pour objectif de développer le potentiel de son équipe en les accompagnant individuellement, afin qu’ils acquièrent plus d’autonomie. Que doit faire un manager coach ? Un manager coach a une grande capacité d’observation. Il est le pilier fondamental pour identifier les talents et les compétences de chacun, ainsi que les facteurs qui les motivent dans leur travail. C’est dans ce sens qu’il développe également un grand sens de l’écoute. Il sait discerner les jugements et adopte un mode de communication efficace, afin d’éviter les malentendus. Outre cela, le manager coach a pour comportement d’être à l’aise avec n’importe quel type de situation. Il peut passer d’un style directif à un style participatif, selon les situations auxquelles il fait face. Ainsi, un manager coach doit savoir donner un feedback, qu’il soit positif ou constructif. Par ailleurs, il doit aussi cesser de penser que les employés n’ont pas la faculté à prendre des initiatives. La confiance mutuelle est très importante, afin que chacun puisse bien faire son travail. C’est pour cela que le manager coach doit être sociable et ouvert. Il doit se concentrer sur les atouts de chacun, afin d’obtenir le meilleur résultat d’eux-mêmes. Un bon manager coach s’engage dans le développement et l’amélioration des capacités de ses salariés. Cela contribue à renforcer le sentiment d’appartenance à l’entreprise, ainsi que la fidélisation. Participer à des formations de coaching Le coaching de manager est une étape indispensable pour les managers en fonction pour pouvoir acquérir d’autres compétences, qui serviront à améliorer leur style de management. Comme les ressources humaines sont le pilier fondamental d’une entreprise, il est très important de participer à des formations de coaching pour pouvoir optimiser les talents. Les établissements proposent plusieurs types de formations pour devenir un manager coach. Ces formations servent à perfectionner les connaissances de base. Leurs objectifs sont de développer les compétences du manager et de ses collaborateurs ; de développer la performance de l’équipe en renforçant sa cohésion ; d’acquérir les compétences essentielles pour devenir un bon manager coach. La séance de coaching de manager se termine par une évaluation.

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Actuellement, freelance et portage salarial vont de pair. En raison des changements qu’il y a dans le monde professionnel où de plus en plus de jeunes choisissent de travailler de manière indépendante, le portage salarial gagne progressivement des adeptes. Cependant, on ne peut pas dire que cette pratique s’est vulgarisée puisque nombreuses sont encore les personnes qui ignorent ce que c’est. Comment passer en portage salarial ? Pour ceux qui n’ont jamais entendu ces mots, le portage salarial est une manière légale d’associer le travail en freelance et le statut de salarié. Cela se fait par le biais d’une société spécialisée qui est une société de portage salarial. Pour ceux qui veulent donc passer en portage salarial, ils ont l’obligation de contacter ce type de compagnie. Mais avant tout, il faut choisir son secteur d’activité, car il faut savoir que certains secteurs du métier ne sont pas éligibles au portage salarial. Ensuite, il faut chercher les clients, car en étant freelance, on est le seul responsable de son travail. Une fois ces deux étapes accomplies, la société s’occupe du reste, il fait en sorte que l’honoraire soit transformé en salaire. Quels sont les avantages du portage salarial ? Un travailleur indépendant a tout à gagner avec le portage salarial, de toute façon, ce dernier a été légalisé dans le but d’améliorer les conditions de travail des métiers en freelance. Le principal avantage du portage salarial est le gain de temps. Être freelance n’est pas une chose facile puisqu’il y a une juridiction qui régit les travailleurs indépendants. Le portage salarial aide les professionnels à ne pas gérer les démarches administratives, car la société dont ils sont clients se charge de cette tâche. En plus, en conservant leur statut de salarié, les travailleurs bénéficient de toutes les prérogatives qui en sont associées c’est-à-dire les nombreuses allocations et mutuelles comme l’ASSEDIC, la retraite ou encore la sécurité sociale. Combien gagne un freelance en portage salarial ? Ce que gagne un professionnel en portage salarial dépend de la facturation auprès de son client, la société de portage salarial n’entre en aucun cas dans ce débat. En entrant en portage salarial, les chiffres d’affaires du travailleur sont déduits de certaines charges notamment les frais de gestion destinés à la société de portage salarial qui vaut entre 7 et 10 % du chiffre d’affaires. À cela s’ajoutent les charges patronales et salariales, en fin de compte, le salaire final équivaut à peu près 40 à 50 % du chiffre d’affaires. En résumé, le salaire dépend uniquement de la santé du secteur d’activité. Dans le secteur de l’informatique, qui est continuellement en progression, un salarié en portage salarial gagne 40 % de plus qu’un salarié dans une entreprise. Bien qu’il soit encore méconnu de la plupart des personnes, le portage salarial est tout de même devenu fréquent chez les travailleurs indépendants. Mais ce n’est en aucun cas une circonstance extraordinaire vu les intérêts qu’ils y gagnent en choisissant cette option. Être freelance n’est donc plus une

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De nouvelles réglementations concernant la couverture sociale des salariés sont déjà entrées en vigueur depuis janvier 2016. Selon le dernier baromètre Credoc/CTIP, les Français considèrent qu’ils sont de mieux en mieux couverts par les mutuelles d’entreprise, d’autant plus que les remboursements de la Sécurité sociales sont moins avantageux.

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