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Fin octobre 2021, la maison-mère de Google, Alphabet, a annoncé une forte progression sur un an des requêtes de proximité sur le moteur de recherche. Des chiffres qui accréditent l’extrême nécessité, pour les enseignes et réseaux de franchise, de mettre en place une stratégie web de marketing local. Déployer des campagnes e-publicitaires sur Google, le moteur le plus fréquenté au monde (plus de 90% de parts de marché) offre une visibilité de premier ordre aux commerces qui cherchent à capter sur internet une audience dite « qualifiée », composée de prospects intéressés par leurs produits ou services et proches géographiquement de leur adresse physique, donc susceptibles de s’y rendre pour effectuer un achat après avoir fureté sur le web. Qu’est-ce que les « near me searches » ? Ces deux caractéristiques (affinité et proximité) constituent la base du marketing local, stratégie qui s’inscrit dans une logique « web-to-store », digitale et multicanale. Il est impensable aujourd’hui, pour un acteur économique de se positionner sur les moteurs de recherche en ignorant le critère de « gélocalisation » : en octobre dernier, Alphabet, la maison-mère de Google, a annoncé lors d’une conférence une multiplication par quatre des « near me searches » entre la troisième trimestre 2020 et la troisième trimestre 2021. Que désigne cette expression ? Elle évoque ces requêtes d’utilisateurs qui intègrent une dimension de proximité (près de chez eux, ou de l’endroit où ils se trouvent à l’instant T) associée au produit, service ou à l’enseigne qu’ils recherchent via le moteur. S’il est difficile de vérifier avec précision l’ampleur de la hausse dont a fait part le géant de Mountain View à l’automne dernier, il est indéniable que l’élément local est un levier décisif qui conditionne aujourd’hui la réussite d’une stratégie publicitaire engagée sur le web. Sur le terrain, beaucoup de professionnels comme Inlead, plateforme de marketing digital local ne sont pas sans ignorer que ce type de recherche a progressivement changé de nature et de modalités depuis trois ou quatre ans, évolution qui traduit un nouveau comportement chez les cyberacheteurs : là où, auparavant, les saisies marque + ville prédominaient, les utilisateurs de Google privilégient aujourd’hui un produit ou un service, ou alors un type d’enseigne (magasin + chaussures + ville, ou fast food + ville). Le marché e-publicitaire en très forte hausse La création de pages locales reste donc la clé d’une action de visibilité gagnantes sur les différents canaux et supports que sont les fiches Google My Business (un service de référencement des entreprises sur le moteur de recherche), les réseaux sociaux (Facebook, Instagram, Bing, Waze), les plateformes vidéo (YouTube) ou le site web de la marque (à travers un store locator). Une telle stratégie est d’autant plus porteuse qu’elle s’inscrit dans un environnement e-publicitaire en forte croissance : le 26ème baromètre SRI avait révélé un niveau de recettes de 3 834 millions d’euros à l’issue du premier semestre 2021, soit une hausse globale de +42% par rapport à l’année précédente. Dans le détail, le search

Gérer la livraison des commandes et le transport des marchandises, ce sont des projets qui exigent un bon niveau d’expertise. Pour externaliser le transport et la logistique de leurs activités, les entreprises les plus performantes et les plus puissantes préfèrent opter pour une solution e-commerce adaptée. Réussir dans le e-commerce demande à la fois de l’expérience, de la stratégie et de l’ingéniosité. L’Internet facilite l’échange de biens et de services dans le domaine de la logistique et fait gagner du temps, des ressources et de l’argent aux entreprises. Cependant, tout projet e-commerce géré avec une entreprise logistique exige de la connaissance dans ce secteur d’activité, de même que l’investissement dans le e-commerce par une entreprise logistique nécessite une parfaite maîtrise des rouages de la vente en ligne. Comprendre le fonctionnement des entreprises de logistique Le choix d’externalisation de la gestion logistique est une initiative à la fois gagnante et très délicate dans l’univers du commerce électronique. C’est pourquoi il est recommandé d’avoir une très bonne maîtrise de ce secteur d’activité, mais aussi de maîtriser son mode de fonctionnement dans tous les secteurs et à toutes les étapes. Chaque entreprise définit une politique de gestion de ses flux physiques et met en place des solutions logistiques appropriées par rapport à ses ressources. Ce déploiement technique et matériel est encadré par des normes liées au prix, à la qualité et à la sécurité. L’intervention logistique est utile dans plusieurs secteurs, branches et activités d’une entreprise. Elle concerne les entreprises de logistique et toutes les autres entreprises de biens ou de services ayant besoin d’équipement, d’approvisionnement, d’aménagement ou d’entretien. Maîtriser les secrets du e-commerce L’émergence du commerce électronique a boosté l’échange électronique entre les entreprises et leurs clients. Les structures n’ayant pas de compétences particulières dans la gestion du transport ont la possibilité de travailler avec des experts du domaine. Chaque entreprise spécialisée dans la logistique dispose de sa propre plateforme de distribution, ce qui lui permet de travailler avec des e-commerçants de différents secteurs d’activité. L’externalisation de la logistique e-commerce touche à la fois les activités de transport, les activités liées aux opérations de production et les activités liées à la gestion informatique et commerciale. Ainsi, plusieurs entreprises proposent des services sur toute la chaîne : la gestion des réceptions, le stockage, le picking et le packing logistique, la personnalisation et l’expédition. Prestataire de logistique e-commerce, Gemmalog fait partie des entreprises logistiques spécialisées dans la vente en ligne pour accompagner les e-commerçants dans leurs projets de développement. Riche de plus d’une décennie d’expérience, elle s’appuie sur un WMS performant et adapté aux spécificités du e-commerce. Grâce à sa stratégie de gestion des flux informatiques multiplateformes, son intégration des solutions de transport appropriées et son traitement des retours à l’international, elle constitue une référence de marque dans l’univers e-commerce.

Moins écologique et performant que le bois ou l’aluminium, le recours aux matières plastiques ne s’inscrit pas dans la logique verte et économe posée par les stratégies de développement durable en entreprise. Le plastique est créé par un processus de transformation du pétrole ou du gaz naturel,  sous l’effet de chaleur. Son usage soulève des problèmes écologiques dans la mesure où sa production à partir de ressources naturelles non-renouvelables et sa fabrication longue, complexe et polluante, nécessite beaucoup d’énergie et de grandes quantités d’eau. Cette transformation est irréversible, le seul moyen de traiter le plastique étant de le recycler. Aujourd’hui, 10 tonnes de plastique par seconde sortent des usines partout dans le monde ce qui représente 8% de la production de pétrole. Avec des conséquences préoccupantes sur l’équilibre de l’environnement. Ce constat amène les entreprises et les particuliers à progressivement reconsidérer la présence du plastique dans leur quotidien. C’est le cas notamment chez les professionnels du BTP. Lors de la rénovation ou la construction d’un bâtiment, les fenêtres les moins chères présentent souvent une armature en plastique.  Au-delà de leur impact négatif sur la planète, leurs inconvénients pratiques, techniques (et parfois juridiques) sont désormais connues : rendus de mauvaise qualité, optimisation de l’isolation thermique et phonique plus faible, durabilité moins importante par rapport à celle d’autres matériaux comme le bois, interdictions dans des centres historiques (certains centres-villes). Il s’avère aussi que le plastique s’adapte mal aux fenêtres de petits formats. Les avantages de l’alu et du bois C’est dans un objectif plus qualitatif et écologique que la fenêtre en bois ou en aluminium est conseillée. Les fenêtres en bois possèdent de nombreux avantages. Elles sont durables et offrent de très bonnes performances thermiques et phoniques. Elles font partie des plus efficaces. Elles sont les plus écologiques et finalement c’est un matériel des plus éthique qui fonctionne avec quasiment tous les styles architecturaux. Elles impliquent toutefois un entretien plus difficile et nécessitent une plus grande connaissance lors de l’installation. La fenêtre en aluminium elle, est parfaitement adaptée pour les ouvertures de grande taille grâce à sa robustesse et son poids léger. Son installation et son entretien sont aussi plus aisés, le tout pour un coût qui reste relativement bas. Il existe parfois des mélanges de ces deux matériaux comme l’indique l’entreprise Minco.  Afin de répondre au mieux au besoin des consommateurs. En effet, le faible poids et la facilité d’entretien de l’aluminium compensent parfaitement les défauts du bois ! Alex Valleaux.

Pour de nombreuses entreprises, le choix des assurances s’avère être complexe. Pour prendre la bonne décision, vous devez tout d’abord évaluer les biens de votre entreprise et estimer les risques professionnels. Il est essentiel de choisir les garanties qui soient les plus adaptées à vos besoins.

Les statistiques de la création d’entreprises marquent une baisse des immatriculations cet été mais les projets lancés dans le soutien et les services aux professionnels sont toujours aussi nombreux.

La création d’entreprise a tenté plus de candidats en 2014 : le nombre d’immatriculations serait en hausse de +2,3% par rapport à l’année précédente. Le rythme s’est même accéléré en décembre (+1,5%).

En 2015, Veille Academy organisera plusieurs sessions à travers la France pour mieux comprendre et gérer plus efficacement la veille technologique dans les entreprises.

Les pilotes d’Air France menacent de reconduire leur grève jusqu’en fin de semaine. Les passagers seront dédommagés en cas d’annulation de vols.

En France, les pertes liées à la fraude en ligne s’élève à 1,4% du total des transactions réalisées sur les sites e-commerce, un niveau bien supérieur à la moyenne européenne (0,6%).

Malgré la crise, ou grâce à la crise, le secteur du e-commerce poursuit sa croissance : les ventes en ligne ont encore progressé de 14% au premier trimestre 2013. Mais le montant du panier est en baisse.